BLANC
Ouvrons cette avant dernière ronde des couleurs avec mes amies du Jardin sur la couleur blanche.
Ce qui me vient instantanément à l'esprit, c'est le blanc des nuages que nous avons ici en Bretagne nord, ceux de l'été plus particulièrement.
Il vous faut imaginer un ciel d'un bleu pur dans lequel le regard se perd tant il est immense.
Puis, faire un zoom arrière et admirer ces énormes nuages blancs gonflés de formes arrondies qui s'y sont installés.
Ils n'en finissent plus de volutes et d'arabesques, et je me perds à y trouver des visages, des paysages, des animaux.
L'imagination fait le reste, le vent aidant, les formes vont évoluer, et j'en oublie presque qu'une heure a passé le nez en l'air.
Mon rêve d'enfant, m'asseoir sur ces joues gonflées de blanc et y passer ce qui me reste de temps.
Et puis, il y a l'écume d'un blanc mousseux que laissent derrière eux les bateaux et les chaluts lorsqu'ils prennent de la vitesse sur cette mer qui m'impressionne et que j'ai appris à aimer et à craindre tout autant.
Repenser aux déferlantes qui claquent sur les rochers lors des grandes marées, et à ce bouillonnement d'une blancheur immaculée qui s'engouffre dans tout ce qui n'offre pas de résistance.
Se laisser porter par les vagues, s'abandonner, ne pas résister quand elles viendront me faire vasciller, leur faire croire que je ne m'y attendais pas. Jouer avec elles encore et toujours.
Le blanc est souvent complice de la mer et du ciel dans cette partie de la Bretagne.
Voilà quelle est ma couleur blanche, je la partage avec vous.
Ce qui me vient instantanément à l'esprit, c'est le blanc des nuages que nous avons ici en Bretagne nord, ceux de l'été plus particulièrement.
Il vous faut imaginer un ciel d'un bleu pur dans lequel le regard se perd tant il est immense.
Puis, faire un zoom arrière et admirer ces énormes nuages blancs gonflés de formes arrondies qui s'y sont installés.
Ils n'en finissent plus de volutes et d'arabesques, et je me perds à y trouver des visages, des paysages, des animaux.
L'imagination fait le reste, le vent aidant, les formes vont évoluer, et j'en oublie presque qu'une heure a passé le nez en l'air.
Mon rêve d'enfant, m'asseoir sur ces joues gonflées de blanc et y passer ce qui me reste de temps.
Et puis, il y a l'écume d'un blanc mousseux que laissent derrière eux les bateaux et les chaluts lorsqu'ils prennent de la vitesse sur cette mer qui m'impressionne et que j'ai appris à aimer et à craindre tout autant.
Repenser aux déferlantes qui claquent sur les rochers lors des grandes marées, et à ce bouillonnement d'une blancheur immaculée qui s'engouffre dans tout ce qui n'offre pas de résistance.
Se laisser porter par les vagues, s'abandonner, ne pas résister quand elles viendront me faire vasciller, leur faire croire que je ne m'y attendais pas. Jouer avec elles encore et toujours.
Le blanc est souvent complice de la mer et du ciel dans cette partie de la Bretagne.
Voilà quelle est ma couleur blanche, je la partage avec vous.